Un professeur de zoologie à pour assistant un allemand, un français et un israélien. Il demande à chacun de faire un rapport sur un troupeau d’éléphant.
L’allemand rend son rapport au bout d’une semaine, il fait 150 pages et s’intitule : « L’ORGANISATION CHEZ LES ÉLÉPHANTS. »
Le français se contente d’un rapport de 30 pages photos comprise intitulé : « LE SEXE CHEZ LES ÉLÉPHANTS. »
L’israélien revient au bout de trois mois et rend un rapport de 5000 pages dont le titre est : « LES ÉLÉPHANTS ET LE PROBLÈME PALESTINIEN. »
Suite au crash d’un avion de ligne, 6 personnes se présentent devant Saint Pierre en même temps. On retrouve un juif new-yorkais et sa fille, un Irlandais et sa fille, et pour terminer un Grec et sa fille née en France.
Le premier à se présenter est le juif. Saint Pierre l’accueille le sourire aux lèvres : – Ah, Isaac ! Je suis vraiment content de vous accueillir toi et ta fille. Je sais que tu as été un brave homme durant toute ton existence; Tu n’as jamais bu d’alcool, jamais fumé, tu as aidé ton prochain… Tout cela est très bien. Tu vas pouvoir rentrer. Et dis-moi, comment s’appelle ta fille qui est si mignonne ?
Et Isaac lui répond : – Elle s’appelle « Penny ». Saint Pierre qui est très susceptible explose : – Alors vous êtes vraiment tous pareils, hein ?! Il faut encore que vous pensiez à l’argent même quand vous choisissez le prénom de vos enfants ! Allez hop : au purgatoire, tous les deux ! Et du coup Isaac et sa fille Penny s’en vont au purgatoire.
Les suivants à se présenter sont Paddy l’Irlandais et sa fille. Saint Pierre accueille Paddy d’une franche poignée de main et lui dit : – Paddy mon ami, tu as été un vrai philanthrope et tu n’as jamais rechigné à faire la charité. Tu as aussi été un catholique très pratiquant. Je t’accueillerai avec plaisir au Paradis. Mais présente-moi donc ta fille, comment s’appelle-t-elle ?
Et l’Irlandais lui répond : – Elle s’appelle « Brandy ».
Saint Pierre explose de colère une fois encore : – Ah vous les Irlandais, vous êtes bien tous les mêmes. Quand vous n’êtes pas des terroristes, vous buvez… Vous allez même jusqu’à donner des noms de boisson à vos enfants. C’est lamentable. Allez hop: au purgatoire, tous les deux ! Et du coup Paddy et sa fille Penny s’en vont au purgatoire.
A ce moment là, Iannis le Grec se tourne vers sa fille et lui dit : – Ma petite Rosette, je pense qu’on ferait aussi bien d’aller directement au purgatoire.
C’est Schlomo qui s’en va consulter le meilleur cardiologue de Varsovie.
A la fin de la consultation, il demande : – Alors docteur, combien je vous dois ? – Ça fera 50 zlotys. – 50 zlotys ? C’est impossible ! – Bon, disons qu’exceptionnellement, pour vous, je peux descendre à 30 zlotys. – 30 zlotys pour une consultation ? C’est ridicule ! – Bon, alors 20 zlotys ?… – Mais enfin, qui a autant d’argent ?
Le cardiologue est passablement énervé maintenant : – Bon, allez, donnez-moi 5 zlotys et fichez le camp ! – Je peux vous donner 2 zlotys, c’est à prendre ou à laisser, dit Schlomo. – Je ne vous comprends pas… Pourquoi êtes-vous venu consulter chez le médecin le plus cher de la ville, sinon de Pologne ? – Ah, écoutez Docteur, quand il s’agit de ma santé, rien n’est trop cher !
Un tout jeune apprenti belge vient de commencer son apprentissage dans une menuiserie, quand tout à coup il hurle : – AAAAHHHHH ! Je viens de me couper un doigt ! – Nom de Dieu ! Met vite un garrot, appelez une ambulance. Putain, mais comment tu as fait ton compte ? – AIIIE Comme ça, y’a la scie circulaire qui tournait, comme elle tourne maintenant, et je me suis approché avec ce bout de bois quand tout à coups…AAAAAAAAHHHH MERDE ! Un deuxième !
Le camarade Youri a été autorisé à se rendre aux USA dans le cadre d’un échange. Il est hébergé chez Bill, ouvrier de la Général Motors.
Bill : – Ah mon ami, vous arrivez dans le pays de la planète où il y a le plus de liberté. La Preuve ? Je peux aller à Washington, devant la Maison Blanche et crier à tue-tête : « Le président Reagan est un con » et personne ne me dira rien, et la police ne me fera aucun ennui !
Youri : – Da, mais URSS aussi être pays de liberté : Je peux aller à Moscou, devant le Kremlin et crier à tue-tête : « Le président Reagan est un con » et bien, il ne m’arrivera rien non plus.