Blagues nationalités

Les cow-boys et les choses les plus rapides du monde

Quatre cow-boys sont en train de discuter le coup, le soir à la veillée, après une bonne journée de convoyage de troupeau. Ils comparent les choses qui, d’après eux, sont les plus rapides au monde.

Le premier cow-boy dit :
– Je pense que c’est la pensée, car si jamais tu te piques un doigt, ou que tu te le brûles, la douleur te parvient immédiatement au cerveau.

Le deuxième cow-boy dit :
– Je pense que c’est le clignement des paupières le plus rapide. Parce que quand tu lignes des yeux, tu ne t’en rends même pas compte, et rien de ce que tu vois n’a le temps de changer.

Le troisième cow-boy dit :
– Pour moi, c’est la lumière. Parce que quand il y a de l’orage et que la foudre tombe à plusieurs kilomètres de toi, la lumière t’arrive instantanément, alors que le son met plusieurs secondes.

Enfin, le quatrième cow-boy dit :
– Eh bien pour moi, le truc le plus rapide au monde, c’est la diarrhée mexicaine !

Les autres, en chœur :
– La diarrhée mexicaine ? Et pourquoi ?

Le quatrième cow-boy répond :
– Je vous explique: Il y a quelques jours, j’avais passé la frontière mexicaine et j’en avais profité pour aller boire un coup de téquila locale au saloon, puis, un peu plus tard, je m’étais arrêté dans une gargote pour manger. Là, j’avais pris du chili con carne qui avait du être réchauffé au moins deux fois depuis la veille, et quelques tacos…

A ce stade du récit, le premier cow-boy demande :
– Et alors, qu’est-ce que tout ça a à voir avec la vitesse ou la diarrhée ?

Et le quatrième cow-boy reprend :
– Eh bien, un peu plus tard, alors que j’étais dans mon lit à l’hôtel, j’ai senti ce feu et ces horribles coliques dans mon ventre ; et avant que je n’ai pu penser, ou cligner des yeux, ou même allumer la lumière…

Le travailleur chinois modèle

La scène se passe en Chine, dans une entreprise bien traditionnelle.

Tous les employés sont travailleurs, mais ne refusent pas une semaine de vacances par an… que leur patron offre avec plaisir.

Mais un employé, un peu trop modèle, refuse systématiquement de prendre ses congés. La première année, le patron lui demande :
– Vous avez été exemplaire dans votre attitude, vous méritez plus que tous les autres votre repos.

Et le chinois de répondre :
– Non, je suis heureux de travailler, je continue !

L’année suivante, idem…
– Mais quand prendrez vous un peu de repos ?
– Je dois honorer mon cher patron et maître par mon labeur si précieux… Je ne peux prendre de vacances.

Et ainsi de suite, chaque année. Mais un jour, bien des années après, le patron se rend compte que son
« Employé modèle » a disparu. Il demande à l’un de ses compagon de travail :
– Ou es passé ton partenaire si hardi, je ne le vois plus depuis quelques jours !?
– Oui maître, c’est normal, mon compagnon a décidé de prendre tous les congés qu’il n’avait jamais pris depuis son arrivée dans l’entreprise… Ça fait quelques mois de repos, hihihihhi.
– Comment ? Mais quelle idée folle lui a traversé l’esprit !?
– Rien de grave, chef, il vient juste de se faire naturaliser français…

Le Belge et le carburant à fusées

C’est l’histoire d’un belge qui se rend à Kourou en Guyane pour voir décoller la fusée Ariane ; une fois que celle ci a décollé, il se rend à l’accueil pour demander où il pourrait trouver un souvenir pour sa famille. L’hôtesse lui propose plusieurs articles : un modèle réduit d’Ariane, un T-Shirt Ariane…

Mais tout ça ne plaisant pas à notre gaillard, l’hôtesse lui propose de lui vendre un fût d’huile de la fusée. L’homme accepte en demandant en supplément des autocollants.

En rentrant chez lui , il pose le fût sur la cheminée. Le soir, sa femme lui propose des frites au dîner. Rien de plus normal… Cependant, notre ch’tit gars leur trouve un arrière goût :
– POUAH ! Mais qu’est-c’que t’as foutu là-dedans Bobonne ?
– Eh ben j’avais plus d’huile d’arachide alors j’ ai pris le fût sur la chem…
– QUOI ! C’est un fût d’huile de la fusée ! Je téléphone au docteur tout de suite.

Le docteur, après avoir écouté toute l’histoire, lui répond qu’il ne peut rien faire, qu’il faut attendre que lui et sa femme aient des symptômes… Quelques heures plus tard, dans la nuit, l’homme rappelle :
– Docteur, docteur ! le symptôme vient d’arriver, ma et moi femme avons pété. Que dois-je faire ?
– Vous m’appelez pour avoir fait des vents. VOUS VOUS FOUTEZ DE MA GUEULE ?
– OUI MAIS LE PROBLÈME C’EST QUE NOUS AVONS PÉTÉ À LIÈGE ET NOUS VOUS APPELONS DE BARCELONE !

L’ambassadeur de France et le Président Roumain

L’ambassadeur de France rend visite au président Roumain.

On le fait patienter dans un boudoir dans lequel il discute avec deux ministres roumains avant d’être reçu par le président.

Lorsque le président le reçoit, l’ambassadeur dit :
– Monsieur le Président, je ne voudrais pas vous importuner ni porter des accusations infondées, mais pendant que j’attendais que vous puissiez me recevoir et que je discutais avec deux ministres de votre gouvernement, ma montre en or a disparu…

Le président lui répond :
– Ne vous inquiétez pas, je m’occupe de ça tout de suite et je reviens dans deux minutes.

Deux minutes plus tard, le président est de retour avec la montre. L’ambassadeur le remercie :
– Monsieur le Président, je suis très heureux. J’ose espérer que cela ne créera pas de situation de crise dans le gouvernement…

Et le président répond :
– Ne vous inquiétez pas. Ils n’ont rien remarqué.

L’invasion du village Belge par les Allemands

Ça se passe pendant la deuxième guerre mondiale. Les Allemands s’apprêtent à envahir un petit village près de Bruxelles et les Belges se disent :
– On n’a qu’à se cacher dans le puits du village, comme ça les Allemands nous trouveront pas !

Mais un autre Belge rétorque :
– C’est bien gentil mais tout de même ! Et si l’officier allemand vient parler au bord du puits, il s’apercevra forcément qu’il n’y a pas d’écho, puisqu’on sera au fond…
– Ben c’est pas grave, je ferai l’écho !

Alors ils se cachent, et cinq minutes après un officier allemand arrive au bord du puits en disant :
– Ah ben ça alors ! Il n’y a personne, dans ce village ?

Et au fond du puits le Belge répète :
– Il n’y a personne dans ce village, village, village ?
– Je me demande où sont passés les habitants !
– Je me demande où sont passés les habitants, bitants, bitants !
– Peut-être qu’ils sont allés se cacher dans la montagne !
– Peut-être qu’ils sont allés se cacher dans la montagne, tagne, tagne !
– A tout hasard, je vais quand même jeter une grenade au fond de ce puits.
– C’est pas pour dire, mais je crois quand même qu’ils sont allés se cacher dans la montagne, tagne, tagne !