Blagues nationalités

Les quatre chiens qui discutent

Quatre chiens, un français, un allemand, un polonais et un russe discutent.

Soudain le chien français a faim. Il aboie, et son maître lui apporte une écuelle de viande.

Le chien allemand est très surpris :
– Alors comme ça, tu aboies et on t’apporte de la viande ? Moi, je n’ai mes repas qu’à heures fixes.

Et le chien polonais dit :
– Qu’est-ce que c’est, de la viande ?

Et le chien russe dit :
– Qu’est-ce que c’est, aboyer ?

Le Belge, le pygmée et le crocodile

Un belge visite l’Afrique avec un guide pygmée. Soudain, les voilà arrivés devant un fleuve.

Le pygmée :
« Bouanana, on ni peut pas t’ave’se’, ! »

Le Belge :
« Et pourquoi une fois, il y a des pierres, il n’y a qu’a marcher dessus ! »

Le pygmée :
« NONON Boouanana, c’est pas des pie’rres, ces des c’ocodilles, bouanana dis-donc ! »

Le Belge :
« Allez une fois, tu m’en raconte hein ? »

Le pygmée :
« NONON Bouanana, rega’de ! »
Et le pygmée lance un caillou sur ce qui ressemble à une pierre. Soudain, le crocodile se réveille, ouvre grand la gueule et fonce vers nos hommes.

Le pygmée en se sauvant :
« Baounana, dis dont cou’s, y va te BOUFFER ! »

Et le belge bien calme au bord du fleuve :
« Eh là une fois, c’est pas moi qui ai jeté la pierre ! »

Le Corse et l’homme-grenouille

Un Corse se promène dans le maquis, en plein été. Soudain, il croise un homme-grenouille. Il lui demande ce qu’il fait là et l’autre lui répond :
– Oh, vous savez, j’ai été ramassé par une de ses saloperies de Canadair !

Le trappeur du Grand Nord à Paris

Venu du Grand Nord, un trappeur, en voyage à Paris avec sa femme, a dépensé tout son argent et il cherche un moyen d’en récupérer suffisamment pour regagner son pays natal.

C’est pourquoi il se rend aux bureaux d’un grand journal de la capitale et, dans la rubrique « Occasions diverses » fait insérer cette petite annonce :
« Céderais Canadienne très chaude, petite taille, yeux marron ».

Les deux touristes français et la bière allemande

C’est deux touristes bien franchouillards qui vont se balader en Allemagne.

Là, ils s’arrêtent dans un bistrot et commandent une bière.

Le patron, un Germain pure souche, décide de profiter de l’occasion pour faire valoir les mérites de son pays natal.
« Alors, mezzieurs les Französes, comment fous la troufez, ma bière ? C’est la meilleurhe de la réchion. »

Le premier touriste répond :
« Hmmm, moi je la trouve plutôt amère. »

Quant au second :
« Ah ? Moi j’ai remarqué un très fort goût sucré. »

Le patron :
« Ach, c’est normal, fous safez, elle est à la fois zucrée et amère. »

Le premier touriste :
« Mais, c’est pas possible, ça ! »

Et le patron de rétorquer avec un sourire satisfait :
« Zi, zi, c’est possible. En Allemagne, on fait zouvent d’une bière deux goût ! »