Blagues nationalités

Le froid extrême au Canada

Il fait très froid ces temps-ci au Canada (-40°C).

Mon ami à décider de s’acheter un démarreur à distance pour son automobile. Il me dit que ça ne lui a coûté que 40$. Je lui dit c’est pas possible, un démarreur ça vaut au moins 300$.

C’est alors qu’il me dit qu’il a acheté une paire de bottes à sa femme…

Comment les Américains fournissent les Français

Un Américain et un Français discutent dans un restaurant :
– Dites-moi, demande l’Américain, en France, quand vous mangez du pain, vous mangez TOUT le pain ?
– Bien sûr, répond le Français, on ne va pas gaspiller du si bon pain !
– Pas nous, répond l’Américain. Ce qui est trop dur, on le reconditionne et on en fait des petits pains qu’on revend aux Français.
– Et la viande ? continue l’Américain, vous mangez tout dans la viande ?
– Bien sûr, répond le Français, on ne va pas gaspiller de la si bonne viande !
– Pas nous, répond l’Américain. Ce qui est trop gras, on le reconditionne et on en fait des steaks surgelés qu’on revend ensuite aux Français.
– Ah oui ! attaque le Français, et vous, vos capotes usagées ? Vous les jetez ?
– Quand même, oui !
– Ben nous en France on les reconditionne et on en fait des chewing-gum qu’on revend aux Américains !

Le fils juif et les études

Une mère juive appelle son grand fils :
– Daviiiid, mon fils ! Ecoute ta mère qui te parle ! Voilà : tu as voulu faire Harvard, je t’ai payé Harvard Tu as voulu faire polytechnique et l’ENA, je t’ai payé polytechnique et l’ENA Tu as voulu faire Oxford, je t’ai payé Oxford… Maintenant, il faut choisir : confection pour homme ou confection pour dame ?

Le côté vantard des cow-boys

Dans le grand ouest américain, un soir après une journée de convoyage d’un troupeau de 5000 bovins, trois cow-boys sont assis autour du feu de camp. Ce sont tous les trois de rudes gars qui n’ont jamais eu peur de rien, sur qui la douleur n’a jamais eu aucune prise.

Après un bon café, ils se mettent à discuter…

Le premier dit :
– L’autre jour, un taureau s’était échappé de l’enclos. L’animal était en furie. Il a réussi à blesser 5 gars salement en les écornant et en les piétinant. Lorsque je suis arrivé, je l’ai rattrapé à cheval, puis je lui ai sauté dessus en l’agrippant par ses cornes. Ensuite, ça a été un jeu d’enfant de le mettre par terre en lui tordant le cou !

Le second renchérit :
– Ouais, pas mal, mais on a tous déjà fait ça. Moi, l’autre jour, alors que j’étais en vacances chez mon beauf en Floride et qu’on était en barque, l’embarcation s’est retournée. Rapidement, un alligator d’au moins trois mètres s’est rué sur moi. La bataille a bien duré 5 minutes sous l’eau, mais finalement j’ai réussi à lui faire la peau en lui déboîtant la mâchoire !

Le troisième cow-boy resta silencieux, alors qu’il remuait les braises avec sa bite.