Blagues nationalités

La blague des trains chinois

Un homme a décidé de partir en voyage en Chine. Il se rend à la gare et s’adresse à un guichetier :
– Un billet pour Pékin, s’il vous plaît.
– C’est où, ça, Pékin ?
– En Chine.
– Ouh la ! s’exclame l’employé de la SNCF. Écoutez, moi ce que je peux vous donner, c’est un billet pour Berlin. Là, vous vous débrouillerez.

L’homme va à Berlin. De là, il prend un billet pour Moscou. À Moscou, il prend un billet pour Novosibirsk. À Novossibirsk pour Oulan-Bator, à Oulan-Bator pour Pékin, où il arrive après trois mois de voyage.

Comme ses congés sont plus que largement entamés, il se rend aussitôt à un guichet de la gare centrale chinoise.
– Un billet pour Châlons, s’il vous plaît ?
– Certainement, honorable étranger, lui répond le guichetier. Châlons-sur-Marne ou Chalon-sur-Saône ?

La blague des Anglais en France

Trois Anglais, le grand-père, le père et le fils passent un week-end à Paris. Ils s’installent dans un petit hôtel particulier en compagnie de leur fidèle valet de chambre, prénommé John.

Le soir venu, vers 20 h, le fils quitte la maison pour aller vivre sa vie. Vers 20 h 30, c’est au tour du père de s’en aller… À 21 h, c’est le grand-père qui passe le pas de la porte…

Vers 2 h du matin, le fils rentre, visiblement satisfait. John l’accueille :
– Monsieur a passé une bonne soirée ?
– Excellente, mon cher John… Ah si vous saviez, ces Françaises, quelle beauté mais surtout quelle fougue !

Une heure plus tard, c’est au tour du père de réintégrer le domicile.
– Monsieur a passé une bonne soirée ? interroge John.
– Excellente, mon cher John… Ah ces Françaises, quel charme mais surtout quelle expérience !

À 7 h du matin, voici le grand-père qui met doucement la clé dans la porte.
– Monsieur a passé une bonne soirée ? interroge John.
– Excellente, mon cher John, s’exclame le pépé… Ah, ces Françaises, quelle jeunesse, quelle classe et surtout quelle patience !

Les boucheries communistes

Avant la révolution, dans les boucheries russes, sur l’enseigne, il y avait écrit : « Igor Vassilievitch » ou « Fédor Boukrine », et à l’intérieur il y avait de la viande.

Avec le communisme, sur les enseignes de boucherie, on pouvait lire « Viande » et à l’intérieur, il y avait Igor Vassilievitch ou Fédor Boukrine.

Le coq corse

Dans un tout petit village près de Bonifacio se trouve le coq le plus corse de toute l’île… Quand le soleil se lève, il attend que le coq du village voisin chante le premier et lui, il se contente de hocher la tête d’un air approbateur.

Les Lords anglais

Deux lords anglais discutent politique et faits de société :
– Mon cher John, vous savez en quelle estime je vous tiens. Mais sincèrement, on dirait parfois que vous ne connaissez pas le peuple anglais. Vous vivez dans une tour d’ivoire défendue par des molosses et n’avez jamais le moindre contact avec le bas peuple… Tenez, n’avez-vous jamais pris l’autobus ? C’est pourtant du dernier drôle !
– À cela Harold je vous répondrai que mon chauffeur étant malade, j’ai dû ce matin même me rendre au Club en autobus. J’avoue que l’expérience m’amusait. Mais voyez-vous, cher Harold, je m’en suis lassé très vite… Cela tient peut-être au fait que le receveur a refusé de me servir un drink…