Blagues nationalités

Le préservatif écossais usagé

Un Major de l’armée écossaise, vêtu de son kilt et portant sa cornemuse à l’épaule entre dans une pharmacie de Glasgow. Il s’avance au comptoir, fouille dans sa besace de cuir et en sort un préservatif tout ce qu’il y a de plus usé. Il le dépose sur le comptoir et dit :
– Combien cela coûterait-il de le remettre en état ?

L’assistant en pharmacie, bien qu’un peu surpris par la question répond :
– Ça vous coûtera 50 centimes…

Le major réfléchit puis demande encore :
– Et pour un neuf, combien cela ferait-il?
– Pour un neuf, il vous en coûtera 1 euro 50.
– Merci.
Et le major quitte la pharmacie avec sa vieille capote.

Une semaine plus tard, le même major entre à nouveau dans la pharmacie, il s’avance au comptoir, ressort son préservatif usé de sa besace, le pose sur le comptoir et s’adresse à l’assistant en disant :
– Le régiment à décidé d’en acheter un nouveau…

Les français dans le bar belge

Ce sont deux français dans ce bar de Belgique. Et il y en a un des deux qui est bien imbibé d’alcool et qui raconte à haute voix des histoires belges (et pas les plus fines).

Celui qui est clair essaie bien de le dissuader de continuer, mais rien n’y fait, l’autre continue à raconter ses blagues toujours en parlant plus fort. Naturellement, la patience des hommes du cru ayant ses limites, un des clients belges de l’établissement vient aborder les français en disant que « Si ce malotru continue à se moquer de nous les belges une fois, ça va mal se terminer ». Et le belge s’en va.. Mais le français bourré ne se calme pas pour autant, et pendant 5 minutes encore, les histoires belges continuent à pleuvoir.

Finalement, sentant qu’il valait mieux disparaître, le français pas bourré paie et entraîne son ami vers la sortie. Sur le parking, alors qu’il cherche ses clés de voiture, il entend une voix derrière lui qui dit :
– Je vous ai attendu espèces de sales français. Vous allez payer pour toutes les médisances que l’aut fieu a dit

Et là le français encore clair se retourne, voit le belge qui brandit un rasoir… et constate avec soulagement qu’il n’y a aucune prise électrique pour le brancher.

Les laveurs de carreaux belges

C’est deux laveurs de carreaux belges en plein travail sur un immeuble de 40 étages. Ils montent, ils montent, ils montent… et arrivés au 20ème, ils se rendent compte qu’ils ont oublié une vitre au 18ème !

L’un des deux dit à l’autre :
« Ne t’en fait pas, je vais t’accrocher à mes bretelles, et tu vas pouvoir descendre la faire ! »

Sur ce, il harnache son collègue et l’autre commence à nettoyer . Et là, celui qui nettoie se met à éclater de rire, il se pisse dessus tellement il se marre. Le deuxième, vexé, lui demande ce qu’il y a de si marrant et l’autre répond :
« Si tes bretelles pètent, tu te les prends dans la gueule ! »

L’essor de la famille Bloomfeld

C’est l’histoire d’un vieux père juif. Il est arrivé en France lors des persécutions nazies des années 30, fauché comme les blés. Un jour, il a trouvé par terre un vieux clou rouillé, il l’a poli, briqué comme neuf, l’a vendu, et …. un an plus tard, dans la rue où il a trouvé le clou, on voit une petite boutique :
QUINCAILLERIE BLOOMFELD

Quelque années passent, la quincaillerie occupe désormais le pâté de maisons. Quelques années encore, c’est carrément une fabrique de clous, vis, etc…

Aujourd’hui, la maison BLOOMFELD est une multinationale prospère. Mais le père Bloomfeld avance en âge, et le problème de sa succession devient pressant. Il convoque donc son fils dans son bureau. Ce dernier occupe une fonction honorifique dans la boîte. On peut même dire que c’est un gros branleur, jeté à longueur de journée, qu’a déjà niqué cinq ou six Ferrari, …

Donc, le père Bloomfeld s’adresse à son fils en ces termes :
– Mon fils, je commence à me faire vieux, il faudrait que tu commences un peu à t’occuper de nos affaires. Tu t’es bien marré jusque là, il faudrait que tu deviennes un peu responsable, maintenant.
– Ouais, t’en fais pas P’pa, donnes moi un truc à faire, tu verras de quoi je suis capable.
– Bien, justement, reprend Papa Bloomfeld, je pars aux USA demain, il faut que tu supervises la campagne de pub : créatifs, affichage, etc…
– Ouais, OK P’pa. Tu verras, tu seras pas déçu.

Papa Bloomfeld s’en va donc aux USA pour quelques semaines. A son retour, en entrant dans l’aérogare, il tombe cul par terre : il est devant une affiche gigantesque où l’on voit un Christ crucifié, avec la légende :
« AVEC LES CLOUS BLOOMFELD, VOUS POUVEZ AVOIR CONFIANCE »

Furibard, il fonce dans le bureau de son fils et l’incendie :
– Espèce de grosse tâche, tu te rend pas compte de ce que tu as fait ? Tu sais pas que depuis 2000 ans, tous nos problèmes viennent de là, qu’on nous accuse d’avoir crucifié le Christ, etc…
– Ah ouais, excuse-moi, j’avais pas fait gaffe…
– Bon, ça va pas être facile, mais je vais essayer de rattraper le coup.

Une année se passe, et Papa Bloomfeld doit de nouveau partir aux USA. Il convoque son fils :
– Bon, mon fils, un an s’est passé et j’espère que tu as mûri l’expérience de la dernière fois. Il faut que je parte de nouveau et je compte te donner une nouvelle chance en te confiant la prochaine campagne de pub.
– Ouais, ça m’a servi de leçon, t’en fais pas, y aura plus de problèmes.

Papa Bloomfeld s’envole donc pour les USA. Lorsqu’il rentre quelques semaines plus tard, en entrant dans l’aérogare, il se trouve devant une affiche où l’on voit un Christ gisant au pied d’une croix, avec la légende :
« HA, SI LES CLOUS BLOOMFELD AVAIENT EXISTÉ »

La mort de la belle-fille juive

Une dame juive, dont la belle-fille vient de mourir, téléphone à son journal local et demande à parler au responsable de la section nécrologie.
– J’aimerais passer une annonce…
– Très bien, madame, je vous écoute. Quel est le texte ?
– « Sarah Davidovich est morte. »
– C’est tout ? « Sarah Davidovich est morte. » ?
– Oui c’est tout..
– Mais vous avez le droit à quatre lignes pour votre annonce. C’est compris dans le tarif.
– D’accord. Alors inscrivez : « Sarah Davidovich est morte. Mon fils Samuel est libre. »