Blagues nationalités

Le voisin sans-gêne

Un locataire furieux vient frapper chez son voisin juif très bruyant :
– Vous vous moquez du monde ! J’entends votre chaîne hi-fi comme si elle était installée chez moi !
– Ah ! Bon, fait le sans-gêne. Vous faites bien de me le dire, puisque ma chaîne est comme chez vous, on va pouvoir partager les traites !

Le préservatif écossais

C’est un écossais qui entre dans une pharmacie et pose sur le comptoir un préservatif utilisé et troué. Il demande au vendeur de lui vendre une rustine.

Celui-ci lui répond que ça n’existe pas, et qu’un préservatif, ça se jette après usage.

L’écossais lui demande alors 1 préservatif. Le pharmacien lui dit qu’il n’en a qu’en paquet de 5. L’écossais part en disant :
« Je dois faire voter cette dépense à tous les membres du club. »

La position de l’avion Belge

Un avion Belge vol en direction de l’aéroport de Paris. Soudain la tour de contrôle lui dit :
« Donnez votre position, donnez votre position ! »

Et le pilote Belge répond :
« Je suis assis devant à droite dans l’appareil. »

La lecture de l’ophtalmo

Un ophtalmo installe son client devant un tableau recouvert de lettres de grosseur décroissante.
– Pouvez-vous lire ceci ? lui demande-t-il en désignant une ligne ou est inscrit : BRZEMYSLWXIKSI.
– Bien sûr ! dit le patient, je suis polonais !

Les cowboys belges et les indiens

C’est l’histoire de deux immigrants belges en plein Ouest américain, au temps de la ruée vers l’or.

Il fait chaud, et ils se retrouvent à mendier une bière dans un saloon. Au même moment, un gars entre dans le bar en tenant une tête d’indien par les cheveux. Le gars s’approche du barman et il lui tend la tête. En contrepartie, le barman donne à ce gars une pépite d’or.

Les deux Belges demandent au barman des explications. Il leur répond :
– Vous savez les gars, j’peux pas blairer les indiens, et je donne une pépite d’or à celui qui peut m’apporter une tête des ces enfants de p…

Sans attendre la fin de la phrase, Willy et son copain Eddy prennent leurs colts et se mettent en selle.

Quelques temps plus tard, ils dénichent un indien isolé et le tuent. Eddy entreprend alors de lui couper la tête pendant que Willy fait le guet.

Rapidement, Willy vient taper sur l’épaule de son complice :
– Hé Eddy, je pense que tu devrais venir voir ça…
– Tu vois pas que je suis occupé.
– Non, vraiment, je t’assure que tu devrais venir voir !

Alors Eddy se relève, et regarde ce que son copain vient de lui indiquer du doigt: un bon millier d’indiens portant les peintures de guerre et tout le toutim, et se dirigeant dans leur direction !

Alors Eddy fait un clin d’œil à son pote :
– Ah la vache, pince-moi ! On va pas tarder à être millionnaires !