Blagues nationalités

Le français et le chinois au cimetière

C’est la Toussaint. Dans un cimetière du 13ème arrondissement à Paris, un homme apporte des fleurs pour la tombe de ses parents. Sur la tombe d’à côté, un chinois est en train de répandre du riz sur la pierre tombale de ses parents à lui.

Le français lui demande :
« Et vous pensez qu’un jour ils pourront manger votre riz ? »

Le chinois lui rétorque :
« Bien sûr ! Le même jour qu’ils pourront sentir vos fleurs. »

Les rats de Bruxelles

Bruxelles est envahie par les rats. Il y en a partout. C’est l’horreur ! Ils ont tout essayé, la mort-aux-rats, les chats, les rapaces… Rien ne marche. Mais un jour, ils apprennent l’existence, dans le fin fond du Sud de la France, d’un vieil ermite qui aurait des solutions miracles pour tout. « Pourquoi pas », se disent-ils… Alors voilà les sages de Bruxelles qui partent pour Marseille et sa garrigue. Ils trouvent le vieil ermite et lui expliquent leur problème. Le vieil homme rigole et leur dit :
– J’ai la solution à vos problèmes. Prenez cette boite. Ouvrez-la dans votre ville. Un rat en sortira. Il fera partir tous les autres. Remettez-le ensuite dedans et ramenez-le moi.

Les sages repartent dans leur ville et ouvrent la boite. Dedans il y a un rat. Tout rose. Les yeux roses, les pattes roses, la queue rose, le poil rose… Bref, un rat rose. Le rat sort, court à travers la ville, et bientôt tous les rats de la ville le suivent. Il finit sa tournée en sautant dans le fleuve, et en nageant de l’autre côté. Et, les rats de la ville qui le suivent se noient. Le rat rose revient dans sa boite. Les sages se disent que ça pourrait être bien de lui faire faire un dernier tour. Et ils recommencent… Quelques derniers rats finissent aussi noyés. La ville est libérée de ses rats !

Les sages repartent pour la France, ramener le rat rose à son propriétaire. Une fois sur place, ils donnent le rat, et se regardent les uns, les autres. Une idée surgit. L’un d’entre eux s’adresse au vieil ermite :
– Et, heu… vous n’auriez pas un, heu… flamand, de la même couleur ?

La chaîne de restauration marseillaise

C’est deux marseillais qui discutent, avec l’accent,
– Je vais monter une chaîne de restauration rapide.
– Comment penses-tu l’appeler ?
– « Mes couilles Mickey ».
– T’es fou avec un nom comme ça t’auras pas de clients !
– Ça m’étonnerait que ça ne marche pas : Y a bien déjà « Ma queue Donald ».

Cuisiner comme sa belle-mère

Sarah et Moise viennent de se marier. A table :
– C’est bon, Sarah, ce que tu fais à manger. Mais tu ne voudrais pas me faire la recette des pastellas comme ma mère me la fait ?

Sarah, pour satisfaire son mari, lui prépare des pastellas pour le dîner du lendemain. A table :
– Comme c’est gentil ! Tu m’as fait des pastellas ! Ah elles sont pas comme ma mère les faisait. Tu as demandé à ma mère la recette ? Demande-lui, elle les fait très bien.

Sarah pousse l’abnégation jusqu’à téléphoner à sa belle-mère pour avoir la recette, et lui prépare le lendemain, avec la salade de poivrons. A table :
– Ah ! C’est très bon ! Mais ma mère, elle doit pas tout à fait faire comme ça.

Le lendemain, Sarah reçoit sa mère dans l’après-midi, pour le thé et les biscuits. Sa mère :
– Alors ma fille, heureuse en mariage ?
– … (petit soupir)
– Quoi ? il critique ta façon de cuisiner ?
– Oui belle maman.
– Ecoute mon conseil, ma fille. Ce soir, pas de petits plats, pas d’entrée, pas de dessert. Ce soir, tu mets un déshabillé affriolant, tu choisis une lumière tamisée, et tu l’attends dans la chambre.

Le soir, le mari entre, appelle sa femme :
– Sarah ?

La table n’est pas mise, pas d’odeur de cuisine.
– Sarah, où es-tu ?

Il avance vers la chambre, découvre sa femme dans un déshabillé transparent, éclairée par une lumière tamisée, et pousse un cri d’inquiétude :
– Sarah ! Qu’est-ce qui est arrivé à ma mère ?!