Blagues nationalités

Du français au menu

Dans la forêt vierge d’Afrique centrale, un explorateur belge arrive dans une vaste clairière au centre de laquelle se dresse une hutte au toit de chaume, surmontée d’une enseigne « LA COURTE PAILLE », RESTAURANT CANNIBALE.

Intrigué, il s’approche et détaille le menu, affiché à l’entrée…
Le Hollandais, la portion, 20 euros ; l’Italien, la portion, 20 euros, l’Allemand, la portion, 20 euros, le Belge, la portion, 20 euros, etc…..et pour terminer, le français, la portion, 100 euros !

A ce moment apparaît le Chef, en tablier blanc et toque de cuisinier.

L’explorateur s’adresse à lui et demande :
« Pourriez-vous m’expliquer ? Vous avez de la chair humaine de toutes les nationalités, au prix unique de 20 euros, et le français, vous le comptez 100 euros. Pourquoi une telle différence ? »

Le chef-coq lève les yeux au ciel et dit :
« Ah Monsieur, si vous saviez le temps qu’on passe à les nettoyer ! »

Sauvés par le sexe

C’est trois occidentaux au temps où ils allaient en Afrique pour soi-disant apporter LA CIVILISATION. Il y avait un français, un anglais et un espagnol.

Leur expédition tomba sur une tribu cannibale et le chef de la tribu leur donna une chance de ne pas être bouffés à condition qu’à tous les trois la somme des tailles de leurs sexes fassent au moins 20 cm.

L’espagnol sort son sexe, après mesure il fait 8 cm.

A son tour l’anglais fait 7 cm.

En dernier lieu le français sort sa queue et ô stupeur il réussi à faire 5 cm et donc nos vaillants explorateurs sont sauvés.

Et là le français tout content se retourne vers ses collègues et leur dit :
« Putain heureusement que j’ai eu une érection sinon on y serait tous passés ! »

La prière du naufragé

C’est un bateau qui fait naufrage… lentement mais sûrement.

Le capitaine réunit tout l’équipage, et dit :
– Les gars… c’est foutu ! On est perdu ! Le radar et la radio sont en panne. Prions Dieu pour qu’Il nous reçoive au moins avec indulgence au Paradis.

Tout le monde est bouleversé et se met à genou pour prier… excepté un matelot qui est resté debout.
– Et toi ! lui dit le capitaine. Tu ne peux pas faire comme tout le monde et prier ?
– Non, moi, j’suis juif.
– C’est pas une raison ! La situation est suffisamment critique comme ça. Alors il y a plus de religion qui compte ! Tu devrais au moins faire un geste catholique, mon pauvre Isaac !

Alors Isaac enlève son béret et fait la quête…

Le whisky du Belge

Un Belge rentre dans un bar à Paris. Il s’assied au comptoir.

Le garçon s’approche :
– Qu’est-ce que vous prenez, Monsieur ?

Le Belge :
– Un whisky avec deux glaçons, une fois. Il boit son verre et se dirige vers la sortie.

Le garçon l’appelle :
– Monsieur, vous n’avez pas payé votre consommation…

Le Belge répond :
– Vous m’avez proposé de prendre quelque chose. Je n’ai rien demandé, donc je ne dois pas payer !

Et il sort, laissant le garçon complètement éberlué…. Le garçon raconte l’affaire à ses patrons le soir:
– J’ai deviné à son accent que c’était un Belge. Il est parti sans payer sous prétexte que c’est moi qui lui a demandé à boire !
– Ce n’est pas grave, dit le patron, Demain je tiendrai le bar. S’il revient, il verra à qui il a affaire !

Le lendemain, le patron est au bar. Le belge entre, s’assied au bar et attend. Le patron lui demande ce qu’il désire boire :
– Un whisky avec deux glaçons, une fois, répond le Belge.

Le patron reconnaît l’accent et lui sert son verre. Après avoir bu, le Belge s’en va sans payer. Le patron lui dit :
– Eh, vous, vous n’avez pas payé votre verre !

Le Belge répond :
– Non, c’est vous qui me l’avez proposé. Quand on offre un verre, on ne réclame pas d’argent !

Et il sort, trop rapidement pour que le patron réagisse. Le soir, le patron raconte son infortune à sa femme :
– Ça ne fait rien, dit-elle, Demain, je m’en occupe et je ne me laisserai pas faire…

Le lendemain, la dame est au bar, le belge entre dans l’établissement.
– BONJOUR, fait la dame.
– BONJOUR, une fois, répond le Belge.

La patronne reconnaît le belge en question et décide de se méfier. Elle attend un bon moment, le Belge ne réagit pas. Au bout d’une demi-heure, la patronne n’y tient plus mais fait preuve de finesse :
– Monsieur, désirez-vous passer commande ?, demande-t-elle.

Le Belge répond :
– Un oeuf cuit dur, s’il vous plaît une fois.

Intriguée, la patronne lui donne son oeuf. Le Belge enlève la coquille, prend un couteau et commence à découper l’oeuf en petits cubes, devant les yeux médusés de la patronne.
– Que faites-vous, Monsieur ?, dit-elle très curieuse.
– Eh bien, je suis un fana de pêche, et j’ai mes recettes secrètes… Je mets ces cubes sur l’hameçon à la place d’asticots ou de mouches, répond d’un air entendu le Belge.
– Ah bon, dit la patronne perplexe, Et qu’est-ce que vous prenez avec ça ?
– Un whisky avec deux glaçons, s’il vous plaît !, répond le Belge avec un sourire aux lèvres…

Le mauvais payeur juif

Moché se tourne et se retourne dans son lit, il n’arrive pas a trouver le sommeil.

Au bout d’un moment, Sarah son épouse commence à s’inquiéter et lui demande :
– Mais dis-moi Moché, qu’est-ce qui t’empêche de dormir comme ça, tu emm….. Tout le monde ?
– Eh bah voila, je dois 1500 euros à Lévi et je dois lui rendre demain.
– Et alors ? Plaie d’argent n’est pas mortelle !
– Mais j’les ai pas les 1500 euros, j’vais pas pouvoir lui donner.
– Et c’est pour ça que tu dors pas ? Attends…

Sarah se lève alors, va à la fenêtre, l’ouvre et appelle
– LÉVI, LÉVI !

De l’autre côté de la rue, une autre fenêtre s’ouvre et Lévi demande, la tête enfarinée :
– Quoi, Sarah, pourquoi tu m’appelles la nuit ?
– Mon mari il te doit 1500 euros, il les a pas, il pourra pas te les donner demain !

Elle referme la fenêtre, se tourne vers son mari :
– Maintenant, toi tu dors, lui, non.