Blagues nationalités

Les nations, les femmes et le golf

Un Anglais, un Irlandais et un Écossais vont disputer une partie de golf. Ils emmènent leurs femmes comme caddies.

Alors qu’il se déplacent vers le premier trou, la femme de l’anglais se prend le pied dans un terrier de lapin, trébuche et atterrit sur le sol la tête la première, le cul en buse, offrant à la vue de tous son postérieur tout nu : Eh oui, elle ne porte pas de culotte !

L’Anglais, choqué de voir la partie intime de sa femme révélée à ses amis l’engueule et lui demande pourquoi elle n’a pas mis de sous-vêtement. Sa femme lui répond :
– Vois-tu très cher, tu me donnes tellement peu d’indemnités que je me vois obligée d’économiser sur tout….

Alors le mari anglais sort £10 de sa poche et lui tend en disant :
– Tiens, prends ça. Tu iras t’acheter une culotte chez Mark’s and Spencer’s.

Deux trous plus loin, la femme de l’Irlandais trébuche sur une taupinière. Elle aussi tombe la tête la première et se retrouve le cul en buse, tout nu ! L’Irlandais qui avait bien rit tout à l’heure est furieux et demande la raison de tant de négligence à sa femme qui lui répond :
– Eh bien oui, toi aussi tu ne me donnes pas assez d’argent, aussi je suis obligée d’économiser sur les dessous…

Alors l’Irlandais prend un billet de £5, le tend à sa femme et lui dit :
– Prends-ça ! Tu iras t’acheter une culotte chez Woolworth !

Enfin, en arrivant au septième trou, la femme de l’Écossais se prend le pied dans une racine, tombe la tête la première et montre à tous que elle non plus ne porte pas de culotte. Comme les deux autres, elle explique à son mari qu’elle n’a pas un budget suffisant pour pouvoir se payer des dessous.

Alors l’Écossais plonge la main dans sa poche et dit :
– Tiens, voilà un peigne. Tu essaieras d’améliorer un petit peu ta présentation à l’avenir.

Le remboursement de l’emprunt

Deux copains se retrouvent au café :
– Oh, Doumé, tu peux me prêter 20 euros ?
– Mais je t’ai déjà prêté 50 euros et tu ne me les as toujours pas rendus !

Finalement Doumé, qui a bon cœur, lui tend un billet de 20 euros :
– Quand me les rendras-tu ?
– Euhh… à la paie !
– C’est quand la paie ?
– Ben, j’sais pas moi, c’est toi qui travaille !

Comment éteindre un puit de pétrole en feu

Ca se passe après la fin de la guerre du Golfe. Les koweïtiens sont assez désemparés devant leurs puits de pétrole en feu : La nuit comme le jour, les flammes de l’or noir font rougeoyer le ciel.

On suggère alors aux Koweïtiens de faire appel à « Red Ader » l’irlandais. Les koweïtiens le contactent, mais celui-ci leur répond qu’il est pris pour 6 mois sur un puits en mer du nord. Pour faire patienter les koweïtiens, il leur conseille de contacter son cousin Paddy.

Lorsque les koweïtiens joignent Paddy Ader, celui-ci leur répond :
« Pas de problème ! Je suis chez vous dans dix heures. Mon prix pour chaque puits éteint sera de 10 000 £ pour moi et mes trois hommes. »
Les koweïtiens sont d’accord, naturellement.

Sur place, les Koweïtiens attendent l’arrivée de Paddy Ader et de son équipe devant un puits en feu. Tout à coup, ils voient arriver un 4X4 pick up, avec quatre rouquins à l’intérieur. Ils descendent d’une dune de sable à pleine vitesse et se dirigent tout droit sur le puits en feu… Les koweïtiens crient au chauffeur d’arrêter, mais celui-ci n’entend pas. Finalement, le chauffeur arrive à dévier la route du pick-up et les quatre rouquins sautent en marche juste devant le puits de pétrole, et aussitôt commencent à battre le feu avec leurs vestes en jean.

Les koweïtiens regardent la scène avec amusement, mais au bout de 2 jours de lutte, le puits est éteint.
Alors les quatre rouquins exténués marchent à la rencontre des koweïtiens et un des quatre dit :
« Pffft… C’était dur ! »

Ensuite le chef koweïtiens fait son chèque à Paddy Ader, et tout en écrivant il lui demande :
« Et qu’allez-vous faire avec cet argent ? »

Paddy répond :
« Ben, la première chose que je vais faire, c’est d’acheter des nouveaux freins pour le 4X4 !»

La tristesse de l’écossais qui perd sa belle-mère

Un Ecossais, qui vient de perdre sa belle-mère, est secoué de sanglots.
– Allons, allons, lui dit un ami, remets-toi. Evidemment, c’est une terrible perte que tu as subie là.
– Oh ! là ! là ! gémit l’Ecossais, pire encore que tu ne peux l’imaginer. Figure-toi que la semaine dernière, le pharmacien m’avait vendu pour elle une boîte de pilules et qu’il se refuse absolument à me reprendre celles qui restent.

Les juifs au bord de la mer

Ce sont deux juifs qui sont au bord de la mer ; sur la plage, ils sont étendus, à se faire dorer, ils dorment presque. A un moment cette conversation :
– Samuel ?
– Oui Moché ?
– La mer monte.
– Achète !