Blagues russes

La blague du KGB

Cette histoire se passe en Union Soviétique dans les années 30 : Le téléphone sonne dans le QG du KGB.
– Allô ?
– Mon voisin Alexei Kovoslodok est un ennemi de l’état, il cache des diamants non déclarés dans les bûches de sa réserve de bois.
– C’est noté, qui êtes vous ?
CLIK !

Le lendemain 15 agents débarquent chez Kovoslodok, fouillent son bûcher, coupent une à une toutes les bûches pour trouver les diamants. En fin de journée, n’ayant rien trouvé, il avertissent le gars et s’en vont.

Peu après son voisin débarque :
– Salut, le KGB est passé ?
– Oui !
– Ils ont coupé tes bûches ?
– Oui !
– Cool, maintenant c’est à ton tour d’appeler, j’ai besoin qu’on laboure mon jardin !

Le vieux moscovite et l’hébreu

Sur un banc à Moscou, un vieux est assis et lit. Un milicien passe par là et lui dit :
– Eh toi ! Qu’est-ce que tu lis ?
– Eh bien tu vois, c’est un livre pour apprendre l’hébreu.
– Mais à quoi ça te sert d’apprendre l’hébreu ? Tu connais quelqu’un qui parle hébreu par ici ?
– Non, mais peut-être un jour j’aurai mon visa pour émigrer en Israël, et alors je pourrai parler hébreu.
– Mais tu rêves ! Jamais on te le donnera, ton visa ! Tu vas rester ici avec nous !
– Bon, alors quand je mourrai, peut-être au paradis je rencontrerai quelqu’un qui parlera hébreu.
– Et si tu vas en enfer, alors ?
– Pas de problème, le russe, je le parle déjà !

Le soviétique qui pouvait acheter une voiture

C’est un soviétique qui a économisé rouble par rouble année après année. Un beau jour, ça y est : Il a assez économisé pour s’acheter une voiture !

Le voilà qui va au magasin d’état et qui demande pour une Lada. Là on lui répond que la Lada lui sera livrée dans 10 ans.

Alors le soviétique demande:
– Ça sera le matin ou l’après-midi ?

Et le vendeur répond :
– Qu’est-ce que ça peut vous faire, c’est suffisamment loin pour ne pas avoir à s’inquiéter si ça sera du matin ou de l’après-midi…

Alors le client :
– C’est parce que j’aurai le plombier dans l’après-midi.

Le président Reagan est un con !

Ça se passe du temps de la perestroïka.

Le camarade Youri a été autorisé à se rendre aux USA dans le cadre d’un échange. Il est hébergé chez Bill, ouvrier de la Général Motors.

Bill :
– Ah mon ami, vous arrivez dans le pays de la planète où il y a le plus de liberté. La Preuve ? Je peux aller à Washington, devant la Maison Blanche et crier à tue-tête : « Le président Reagan est un con » et personne ne me dira rien, et la police ne me fera aucun ennui !

Youri :
– Da, mais URSS aussi être pays de liberté : Je peux aller à Moscou, devant le Kremlin et crier à tue-tête : « Le président Reagan est un con » et bien, il ne m’arrivera rien non plus.

Les trois russes au goulag

Trois russes au goulag :
– Moi, je suis arrive avec 5 minutes de retard, alors on m’a accusé de sabotage…
– Moi, j’avais 5 minutes d’avance, alors on m’a accusé d’espionnage…
– Moi, j’étais à l’heure, alors on m’a accusé d’avoir acheté ma montre à l’Ouest…