Pendant la guerre d’Algérie, c’est l’histoire d’un parachutiste, un dur ; un vrai, un balèze qui est en permission à Paris. Il arrive rue Saint-Denis, il se choisit une prostituée, il monte dans la chambre avec elle et elle lui fait : – Bon ! On y va, mon loup ? Déshabille-toi !
Le mec se déshabille, et là elle s’aperçoit qu’il s’est tatoué « OAS » sur le pénis. – Quelle horreur ! s’écrie la fille. « OAS » ? Mais tu fais de la politique ? – Mais pas du tout ! Ça veut dire Organe A Sucer !
Un avaleur de sabres fait son numéro sur une place. Un curieux s’exclame : – Incroyable ! Comment fait-il pour avaler une lame aussi longue sans se faire mal ? – À mon avis, lance un autre spectateur, il avale d’abord le fourreau !
C’est un pilote d’Airbus qui commence à avoir la vue sérieusement basse. Comme tous les ans, il lui faut passer la visite médicale.
D’habitude, son défaut oculaire passait inaperçu car le pilote connaissait par coeur le panneau des lettres à lire…
Mais cette année, le panneau des lettre a changé, et lorsque le pilote se met à réciter n’importe quoi, le pot-aux-roses est découvert !
Le docteur découvre que le pilote est presque aussi myope qu’une taupe. A tel point qu’il se pose la question : – Comment un pilote avec une vue aussi mauvaise que la votre peut parvenir à faire voler un Airbus sans problème ? Par exemple, comment faites vous pour trouver la place de l’avion sure les pistes ? – Oh, ce n’est pas très dur. Tout ce que j’ai à faire, c’est de suivre les indications du contrôleur au sol à la radio. En plus de cela, il y a les marques au sol que je connais par cœur depuis que je pilote. – Je peux comprendre ça, mais comment se passe le décollage ?, demande ensuite le docteur. – Là encore, c’est facile. Je dois simplement placer l’avion correctement au début de la piste. Puis dès que j’ai l’autorisation par radio, je mets pleins gaz, je tire sur le manche et hop on décolle. – Et une fois en l’air ? – Oh, de nos jours, tout est automatisé. L’ordinateur de bord connaît notre destination. Tout ce qu’il me faut faire une fois le décollage terminé est d’appuyer sur le bouton du pilotage automatique, et ensuite l’avion se débrouille tout seul. – Admettons. Mais je voudrais bien savoir comment vous atterrissez… – Ah ça, c’est la partie la plus facile : Je n’ai qu’à suivre les indications données par la tour de contrôle de l’aéroport. Le contrôleur aérien me place sur le bon axe de descente. A ce moment là, je diminue les gaz, et j’attends que le copilote crie : « HÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ !! » Là je remonte le nez de l’avion et on atterrit impeccable.
C’est une société qui cherche un comptable. Elle passe une annonce et trois candidats se présentent. Le recruteur fait entrer le premier candidat. C’est un homme, à l’air austère. – Bonjour Monsieur. Nous allons nous permettre de tester vos capacités, pour voir si vous avez le bon profil. Une place de comptable, c’est sérieux. Pouvez-vous compter jusqu’à dix ? – Mais, bien sûr : Une deux, Une deux, Une deux… – Ouh là là, c’est pas terrible. Que faisiez-vous avant ? – J’étais adjudant dans l’armée de terre. – Écoutez, on vous écrira.
La deuxième personne entre à son tour. C’est une femme, un peu niaise. – Bonjour. Je vais vous demander de compter jusqu’à dix. – Facile : Un trois cinq sept neuf… – Dites donc, c’est pas fameux. Qu’est ce que vous faisiez avant ? – Pervenche, mais je suis toujours restée sur les côtés impairs. – Eh bien on vous écrira.
Le DRH commence à être un peu tendu. Il fait entrer le dernier candidat. – Bonjour Monsieur. Etes vous capable de compter jusqu’à dix ? – Sans problème : Un Deux trois quatre cinq six sept huit neuf et dix – Formidable ! (J’en tiens un) Vous avez l’air du comptable idéal. Et… vous pouvez continuer ? – Oui : Valet, Dame, Roi… – Aie aie aie, ça se gâte, qu’est ce que vous faisiez avant ? – Employé des postes !
Un Québécois dans un restaurant Français : « Heille Garçon ! Y a une p’tite christ de tabarnack de calice de mouche dans ma ciboire de Saint Sacrement de soupe ! »
Le serveur : « Je suis désolé monsieur, mais je ne vois aucun service religieux dans votre soupe… »