Blagues pompiers

L’appel de la sirène des pompiers

Deux amis sirotaient tranquillement un café lorsque la sirène des pompiers se mit à retentir. Brusquement l’un deux se leva et dit :
– Excuse-moi, le devoir m’appelle …
– Mais tu n’es pas pompier volontaire.
– Moi non, mais le mari de Sylvie oui !

Quand la voyante voit l’incendie

Fonçant à toute allure, les pompiers se précipitent à l’adresse où on les a appelés par téléphone. A leur grande surprise, ils n’aperçoivent pas la moindre trace de fumée. Le capitaine va donc frapper chez la gardienne et demande :
– Alors, ce feu, où est-il ?
– Attendez, fait la concierge, il va se déclencher dans trois minutes.
– Ah !
– Permettez-moi de vous donner ma carte de visite, à tout hasard : Madame Irma, Voyante !

Le pourboire des pompiers

Le téléphone sonne dans l’appartement où est donnée une petite soirée. L’hôtesse prend la communication.
– C’était la baby-sitter qui garde vos deux enfants, dit-elle à un couple d’invités. Elle demandait combien on doit donner de pourboire aux pompiers, après leur intervention. Je lui ai dit qu’un billet de 10 euros et un bon coup de bordeaux à chacun, ça me paraissait bien suffisant.

Survivre à un krach boursier

A la suite d’un krach boursier, un agent de change s’est engagé sur une corniche, au vingtième étage d’un immeuble de bureaux, avec l’intention de se jeter dans le vide. Le capitaine des pompiers, tente de l’empêcher de commettre l’irréparable :
– Ce qu’il faudrait, dit-il à une ravissante secrétaire qu’il a amenée près de la fenêtre, c’est lui montrer quelque chose qui lui redonne goût à la vie. Si vous le permettez, je vais dégrafer moi-même votre corsage.

Éteindre un gigantesque incendie

Alors qu’un gigantesque incendie ravage une tour de soixante étages, le colonel des pompiers annonce aux journalistes :
– Il y a, au sommet de l’immeuble, un réservoir contenant dix mille mètres cubes d’eau. Nous allons le faire sauter à la dynamite : L’eau va dévaler tous les étages et éteindre les flammes.
– Mais, objecte un reporter de la télévision, les cinq mille personnes qui sont bloquées dans leurs bureaux seront toutes noyées.
– Chacun son boulot ! Si on a appelé les pompiers, c’est pour qu’ils empêchent ces gens de brûler vifs. Maintenant, si c’était pour les empêcher d’être noyés, il fallait appeler la Brigade fluviale.