Blagues commerce

Le cordonnier chez le psychanalyste

– Je ne comprends pas pourquoi vous êtes venu me consulter, dit, après trois quarts d’heure d’entretien, le psychanalyste à un nouveau patient. La seule chose au monde qui ait l’air de vous tracasser est de trouver des clients pour votre cordonnerie.
– Justement ! C’est à ce propos que je voulais faire un accord avec vous. Est-ce que, lorsque vous constatez qu’un de vos clients, étendu sur le divan, porte des chaussures aux semelles trouées, vous pourriez lui donner ma carte en lui disant que, s’il se recommande de vous, pour un ressemelage, je lui ferai dix pour cent de réduction ?

Le marchand de journal et l’escroquerie

Un marchand d’un journal local dans la rue :
« L’escroquerie du siècle ! 300 victimes dans notre seule ville ! »

Un client s’approche, achète un exemplaire et, arrive, à son arrêt de bus commence à lire : ce sont de vieux numéros ! Il retourne vers le vendeur, furieux, mais tandis qu’il s’approche, il entend :
« L’escroquerie du siècle ! 301 victimes dans notre seule ville ! »

Le roman policier idéal

– Je vous recommande ce nouveau roman, dit une libraire à un amateur de littérature policière.
– Il est si bien que cela ?
– C’est simple : même son auteur n’est pas parvenu à découvrir l’assassin.

Le jeune homme et la jolie vendeuse

Dans un magasin de vêtements à la mode, un jeune homme demande à la très jolie vendeuse :
« Je voudrais acheter des gants pour ma femme mais je ne connais pas sa taille »
« Laissez-moi les essayer » dit elle en prenant les gants. « Oui allez-y… Ses mains sont à peine plus fines que les vôtres. C’est bon, je vais les prendre. » dit le gars à la vendeuse.
« Vous faudra-t-il autre chose ? »
« Euh oui, maintenant que vous le demandez… Je vais aussi lui acheter un soutien-gorge et une culotte. »

Les deux beaux bébés et l’homme dans le train

Dans le compartiment d’un train, un homme porte deux bébés, un dans chaque bras. Une femme s’installe devant lui et entame la conversation :
« Quels beaux bébés ! Comment s’appellent-ils ? »

L’homme lance un regard agacé à la dame et répond :
« Je ne sais pas. »

La dame continue malgré tout :
« Ce sont des petits garçons ou des petites filles ? »

L’homme semble encore plus agacé et répond :
« Je ne sais pas. »

La femme :
« Mais enfin, quelle sorte de père êtes-vous donc ? »

L’homme répond :
« Je ne suis pas leur père, je suis représentant en préservatifs et eux, ce sont deux plaintes que je vais déposer à la direction ! »