Blagues voyous

Les gangsters et le fermier

Deux gangsters attaquent un riche fermier qui rentrait chez lui. Ils lui prennent tout : son cheval, son argent, son jean, ses bottes, sa chemise et son chapeau. Le pauvre homme supplie :
– Vous pourriez au moins me laisser quelque chose !

Alors, un gangster dit à l’autre:
– Joe ! Rends-lui son chewing-gum !

La fuite des bandits

Revolver au poing, deux bandits sortent de la banque dont ils se sont fait remettre le contenu du coffre. Un complice les attend à la porte :
– Je n’ai pas réussi, leur dit-il, à voler une Mercedes pour assurer notre fuite. Mais, en menaçant des gamins, je les ai obligés à me laisser leurs deux planches à roulettes.

L’agression du présentateur

Dans une rue sombre, un homme, tenant à la main un revolver, ordonne à un passant :
– Ton portefeuille, et grouille-toi !

Soudain, les phares d’une voiture éclairent le visage du passant.
– Oh ! S’écrie l’homme au revolver mais je ne me trompe pas. Vous êtes BCBG, le célèbre présentateur du Journal télévisé.
– En effet.
– Je vous prie de m’excuser. Je ne vous avais pas reconnu. Pourriez-vous avoir l’amabilité de me donner un autographe ?
– Mais… avec plaisir. Je suis trop heureux de rencontrer un admirateur.

Le passant tire de sa poche un stylo Montblanc et écrit quelques mots au dos d’une de ses photos.
– Merci beaucoup, dit le malfaiteur. Et, maintenant, ajoute-t-il, aboule ton stylo !

Les noctambules et les voyous

Un couple de noctambules est arrêté par une demi-douzaine de jeunes voyous, agitant ostensiblement des chaînes de vélo. Avec une exquise urbanité, leur chef dit au mari :
– Cher monsieur, le quartier est très mal fréquenté depuis quelque temps. Alors, pour plus de sûreté, nous allons veiller sur votre femme pendant que vous irez chez vous prendre votre revolver, au cas où vous feriez une mauvaise rencontre.

La charité du braqueur

L’auteur d’un hold-up sort, en courant, de la banque qu’il vient de dévaliser, en tenant sur son dos un sac plein de billets de banque.
– La charité, mon bon Monsieur, implore un SDF en lui tendant son chapeau crasseux.
– Volontiers, dit le bandit en posant son sac à terre, pour fouiller dedans, mais vous auriez de la monnaie sur 100 euros ?