Blagues police

La blague des briques

Deux amis décident de voler des briques sur un chantier afin de terminer un mur mitoyen. Ils attendent le dimanche car les chantiers sont déserts. Ils partent en voiture, arrivent sur un chantier et commencent à charger le coffre arrière du véhicule avec de très belles briques. Alors qu’ils sont en pleine activité, une voiture de police arrive. L’un des deux amis dit aussitôt à l’autre :
– Attention la police arrive. Alors pas de panique. Tu fais le même mouvement que pour charger la voiture, mais en fait tu décharges les briques.

Et sans aucune interruption dans le mouvement, les deux amis déchargent les briques de la voiture. La voiture de police s’arrête et un policier en descend :
– Que faites-vous ?
– Il nous restait quelques briques. Comme on ne savait pas où les mettre, on les dépose ici sur ce chantier.
– Non, mais ça va pas, dit le policier. C’est pas une décharge ici ! Allez, embarquez-moi toutes ces briques !

Alcootest assaisonné

Un automobiliste raconte à un ami :
– Il y a quelques jours, je me suis fait arrêter par la police, et j’ai dû souffler dans le ballon. Quand le policier a voulu regarder l’appareil pour voir le résultat, il a seulement vu apparaître une petite tête de bœuf.

Il m’a alors demandé :
– Mais qu’avez-vous donc bu ?

Et moi, je lui ai répondu :
– Un Viandox.

Préférence régionale

En reculant sans jeter un coup d’œil à son rétroviseur, un automobiliste a renversé un passant. Un policier intervient. L’air menaçant, il interroge le conducteur :
– Nom et prénom ?
– Joseph Biron.
– Ça alors, c’est drôle, moi aussi, je m’appelle Biron.
– Date et lieu de naissance ?
– Le 12 août 1977 à Chamalières.
– C’est incroyable ! Moi aussi, je suis né à Chamalières, mais en 1976 !

Sortant de sa poche son carnet de contraventions, le policier dit à l’automobiliste :
– Attendez-moi trois minutes. Je vais coller un PV à ce piéton maladroit qui aurait très bien pu abîmer votre carrosserie et je reviens pour qu’on parle du pays.

Conscience orpheline

Une voiture frôle un agent de la circulation. Celui-ci siffle et l’auto s’arrête.
– Vos papiers ?

Pensant amadouer l’agent, le conducteur montre, au lieu de son permis, une carte de membre bienfaiteur des orphelins de la police. Alors, le gardien de la paix lui demande, furieux :
– Les orphelins de la police ? Combien de leurs pères avez-vous sur la conscience ?