Blagues enfants

Zizi en bas, zizi en l’air

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C’est un petit garçon qui est étendu sur le sable avec son père sur une plage de nudistes. Il regarde les gens pendant un moment et tout à coup il demande à son père :
– Pourquoi il y a des hommes qui ont le zizi en l’air et d’autres qui ont le zizi en bas ?

Le père est embarrassé pour répondre et réfléchit. Il a une idée :
– Et bien ceux qui ont le zizi en l’air sont riches, et ceux qui ont le zizi en bas sont pauvres.

La réponse satisfait le petit garçon et il continue à regarder. Peu de temps après, son père lui demande :
– Au fait as-tu vu ta mère ?

Le petit garçon lui répond :
– Oui, elle était en train de parler à un homme pauvre, qui est devenu riche, et elle est en train de lui pomper tout son pognon !

L’heure qu’il est

Sarah demande à son fils l’heure qu’il est.
– Dans dix minutes, il sera quatre heures.
– Je ne te demande pas l’heure qu’il sera dans dix minutes, mais l’heure qu’il est en ce moment…

C’est quoi une banque ?

‘- Papa, demande un petit garçon, qu’est-ce que c’est une banque ?
– C’est un endroit où l’on dépose, pendant quelque temps, l’argent qu’on a gagné, en attendant de le verser au percepteur.

Les boules de papa

Un jour, une petite qui joue calmement voit par hasard son père tout nu.

Surprise, elle lui demande :
– Papa, c’est quoi les deux boules que tu as entre les jambes ?

Le père répond maladroitement :
– Ce sont des abricots ! Et maintenant, va jouer ailleurs !

La petite obéit et sort immédiatement.

Quelques instants plus tard, elle rencontre sa mère dans la cuisine. Fière d’elle, elle lui dit :
– Maman, j’ai vu les 2 abricots de papa !

Et la mère de répliquer :
– Et tu as aussi vu la branche morte qui les supporte ?

Une mère compréhensive

Une dame est venue en visite chez une amie avec sa fille de quinze ans. Tandis qu’on sert le thé, la demoiselle va faire le tour du jardin avec le grand fils de l’hôtesse.

Soudain, on entend des cris déchirants :
– Au secours ! Au secours !

Les deux amies se précipitent dehors et, dans un bosquet, elles découvrent le fils de la maison en train de violer allègrement la jeune invitée.
– C’est fou, commente avec indulgence la mère du garnement, ce que les enfants peuvent grandir vite ! Si je vous disais qu’au début de l’année, il était encore à aller coucher, chaque soir, avec son gros nounours en peluche…