Blagues mort

La blague du cercueil

Une pauvre femme qui vient de perdre son mari se rend chez l’ordonnateur des pompes funèbres pour la cérémonie d’inhumation.
– Monsieur, combien cela va-t-il me coûter ?
– Tout dépend de ce que vous voulez, madame. Pour un cercueil en chêne doublé de satin violet et avec de magnifiques poignées en argent, c’est 3000 euros. Pour 1500 euros, je peux vous proposer un cercueil en bois verni mais avec des poignées en cuivre. Mais évidemment, avec un cercueil en pin non verni et non doublé à l’intérieur, vous ne payerez que 1000 euros.
– Bon… Eh bien, je crois que je vais prendre la dernière solution, c’est-à-dire le cercueil en pin.
– Comme vous voudrez, madame, mais cela fera moins gai !

La place vide

Cette pièce connaît un grand succès. Pour obtenir une place au théâtre, il faut s’y prendre des semaines à l’avance. Pourtant, ce jour-là, près d’une femme, un fauteuil est vide…
– Pardon, madame, demande un monsieur à l’entracte, la place auprès de vous n’est pas occupée ? C’est tout à fait étonnant…
– C’est la place de mon pauvre mari. Il est mort.
– Oh ! Toutes mes condoléances, madame. Mais, cette place, n’auriez- vous pu en faire profiter un de vos amis ?
– Impossible, monsieur. Ils sont tous à l’enterrement.

La blague du chewing-gum

Un ouvrier est bien embêté : il doit aller annoncer à la femme d’un de ses collègues que celui-ci est tombé dans une énorme machine à faire du chewing-gum où il a été complètement broyé.
– Madame Dupont ?
– Oui.
– Bonjour, madame. Dites-moi, votre mari il était bien grand, brun et il faisait toujours des ronds avec la fumée de sa cigarette ?
– Oui.
– Eh bien maintenant, il est petit, rose et il fait des bulles…

Enterrement à répétition

Le fossoyeur rentre chez lui épuisé.
– Tu as eu une journée fatigante ? lui demande tendrement sa femme.
– Ne m’en parle pas. J’ai enterré un comédien.
– Et alors ? Ces gens-là ne sont pas plus lourds que les autres…
– Non, mais quand il a été au fond de la fosse, toute l’assistance, pour lui rendre hommage, s’est mise à applaudir comme au théâtre.
– Et alors ? C’est pas les bravos qui t’ont mis sur les genoux ?
– Si… Car ils l’ont rappelé huit fois et il a fallu que je le remonte autant !