Blagues alcool

La blague des bouteilles

De temps en temps, je m’y mets : je range ! Dernièrement, j’ai nettoyé ma cave. Il y avait douze bouteilles de grand vin. Ma femme – antialcoolique – me commande de les vider… dans l’évier ! Sinon gare à moi ! Sa décision entraîna les conséquences suivantes :

J’enlevai le bouchon de la première bouteille et j’en vidai le contenu dans l’évier, sauf un verre que je bus.

J’ôtai le bouchon de la deuxième bouteille et j’en fis autant, c’est-à-dire que j’en déversai le contenu moins un verre pour ma pomme.

Idem pour la troisième.

La quatrième, j’arrachai son bouchon, vidai un verre dans l’évier et bus le reste.

J’extirpai le bouchon de la cinquième, la vidai dans le verre que je bus…

Pour la dixième, j’arrachai la bouteille du bouchon, j’en bus un plein évier et vidai le restant dans la bouteille…

Je sortis un verre du septième évier et je vidai le bouchon dans la bouteille.

Alors, je sortis le bouchon du fond de ma gorge et je versai le huitième évier dans la bouteille et je bus le verre.

Puis je bouchai l’évier avec le neuvième verre, mis le vin dans la bouteille et bus le trop-plein.

Lorsque j’eus tout vidé, je me mis à caler les murs de ma maison et à compter mes bouteilles et mes bouchons : j’en trouvai 29 !

Pour être absolument sûr de moi, je me suis mis à les recompter au passage et voilà que cette fois j’en ai trouvé 74 !

Lorsque la maison repassa une autre fois, je les comptai de nouveau et m’aperçus enfin que je retrouvais le compte de toutes les maisons de toutes les bouteilles de tous les bouchons et de tous les verres, à l’exception de l’évier que j’avais bu. Normal…

Le célibataire tardif

Deux hommes discutent dans un bar autour de leur cinquième bouteille de whisky.
– Dis donc, fait l’un. Qu’est-ce qu’elle dit, ta femme, quand tu rentres tard ?
– Je ne suis pas marié, répond l’autre, je n’ai pas de femme !
– Alors, réplique le premier, pourquoi tu rentres tard ?

La blague de l’accident des fêtards

Terrible accident sur la nationale. Une voiture remplie de fêtards est passée sous un camion. Le spectacle est horrible, et les corps sont tellement en charpie que les gendarmes ne parviennent pas à les identifier.

Survient une seconde voiture, elle aussi remplie de fêtards ivres morts. Le conducteur du véhicule quitte son siège en vacillant et s’approche du terrible carambolage.
– Oh, dit-il d’une voix avinée. Mais c’est la bagnole de Roger !

Un gendarme s’approche aussitôt de lui :
– Vous pourriez identifier les victimes ?
– Faut voir, répond l’ivrogne.

Trop ivre pour être dégoûté, il se baisse vers la tête de l’un des accidentés, tranchée net en dessous du menton, et l’examine longuement. Vaguement écœuré, le gendarme s’approche alors de lui :
– Vous le reconnaissez, oui ou non ?
– Ben, oui et non, répond l’ivrogne. Ce type ressemble bien à Roger, mais il est vraiment nettement plus petit que lui…

La double réflexion

Deux pères de famille ont l’habitude de se retrouver chaque soir dans un bar, pour boire une bière tranquillement.
– Tu sais, dit l’un, chaque soir je dois y réfléchir à deux fois avant de venir boire un coup…
– Vraiment ?
– Oui. Une première fois pour trouver une raison de sortir de chez moi, et une seconde pour convaincre ma femme de ne pas m’accompagner