La belle fille qu’un peintre a attirée dans son atelier, pour qu’elle lui serve de modèle, ne cache pas son étonnement : – Quand vous m’avez dit que vous êtes spécialisé dans les nus, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai bêtement pensé que c’était moi – et non vous – qui allais me défaire de tous mes vêtements.
Dans le café d’un petit village de campagne, il y a une belle jeune femme plutôt canon. Elle s’approche du bar avec un air enjôleur. Le cafetier se rapproche d’elle tout naturellement. Puis en prenant l’air le plus aguicheur qui soit, elle fait comprendre au cafetier qu’il faut qu’il approche son visage au plus près d’elle.
Lorsque le gars s’est penché, elle lui caresse gentiment sa superbe barbe tout en lui disant d’une voix engageante : – C’est vous le patron de ce café ? (elle lui caresse tout doucement le bouc des deux mains maintenant) – Euh, en fait non… – Vous pourriez aller le chercher, j’ai quelque chose d’important à lui dire ? (et maintenant, elle lui passe la main dans les cheveux)
L’homme est vraiment émoustillé, voire carrément excité. Il halète et dit dans un souffle : – Je suis désolé, mais il n’est pas là. Je peux faire quelque chose pour vous ? – Eh bien oui. Vous allez lui laisser un message. (et alors qu’elle lui met ses doigts dans la bouche, laissant le gars les sucer goulûment)… – Vous allez lui dire qu’il n’y a plus de papier dans les toilettes.
– J’ai fait la connaissance, raconte un play-boy à un ami, d’une nana timide, mais timide ! J’avais réussi à la décider à m’accompagner dans mon studio. Histoire de briser la glace, je vais à la cuisine préparer deux Martini bien tassés. Et quand je reviens, qu’est-ce que je vois ? La pauvre enfant avait eu tellement peur de tacher ses vêtements en renversant de l’apéritif dessus, qu’elle s’était entièrement déshabillée.
Deux mecs discutent dans un bar : – Tu sais pas ? la nuit dernière, y a une femme qu’a frappé à ma porte toute la nuit, jusqu’à cinq heures du mat’. – Bon Dieu ! Qu’est-ce qu’elle voulait ? – Sortir.
Ce sont deux jeunes adolescents amoureux, un samedi soir dans une voiture…
Le jeune garçon, pas trop dégourdi est en train de masser tout doucement le ventre de sa copine en lui disant : « Je t’aime, je t’aime, je t’aime… je t’aime. »
Après quelques minutes sans la moindre évolution, la copine lui dit à l’oreille : « Plus bas ! »
Alors le garçon reprend son manège, mais cette fois-ci en murmurant : « Je t’aime, je t’aime, je t’aime… je t’aime »