Blagues animaux

La concurrence du psittacidé

Un monsieur entre dans une animalerie :
– Excusez-moi, dit-il au vendeur, vous vous souvenez de moi ? La semaine dernière, je vous ai acheté ce perroquet. Eh bien, je vous le ramène.
– Ah bon, pourquoi ? demande le vendeur, il ne parle pas ?
– Au contraire, se plaint le client, il parle trop et ma femme ne supporte pas la concurrence.

L’œuf du perroquet

Une femelle perroquet a été achetée par une vieille dame qui s’efforce, des jours durant, de la faire parler sans obtenir le moindre son. Jusqu’au jour où le volatile se met en colère et s’écrie :
– Parler ! Parler ! Et moi, est-ce que je vous demande de pondre un œuf ?

Le langage des chats

Après un numéro de cirque de chat qui parle, un journaliste demande au directeur du cirque :
– Ce numéro est fantastique, comment avez-vous trouvé un chat qui sait parler ?
– Oh, il ne sait pas parler, il y a un truc !
– Ah… fait le journaliste.
– Oui, répond le directeur, c’est le chien qui est ventriloque.

Le jeu du chat et de la souris

Un chat demande à une souris de sortir de son trou pour jouer.
– Si je sors, tu devras t’attacher les pattes et mettre un bâillon sur ton museau, répond la souris.

Le chat s’attache les pattes et se bâillonne.
– Pourquoi tu rigoles ? demande le chat au travers du bâillon.
– Parce que c’est la première fois que je vais manger du chat !

La blague du sevrage canin

Un représentant de commerce qui était à l’étranger sur les routes depuis plus de deux mois avait enfin la possibilité de rentrer chez lui pour retrouver sa femme et ses enfants afin de fêter Noël en famille.
Pour se faire pardonner après une si longue absence, il décida de faire un beau cadeau à sa progéniture. Sur le chemin de l’aéroport, il s’arrêta dans une animalerie et fit l’acquisition d’un mignon petit chiot labrador.

À l’enregistrement des bagages, une hôtesse lui fait remarquer que la compagnie ne tolère pas les animaux en cabine, et que le chiot devra voyager en soute.

Le représentant fait mine d’acquiescer, puis il se dirige dans les toilettes de l’aéroport et revient se présenter au guichet d’enregistrement un peu plus tard, sans le chiot…

L’avion décolle et quinze minutes plus tard, alors que l’hôtesse arpente le couloir de la classe économique, elle remarque le voyageur de commerce qui semble aller très mal : il est pâle, il s’agrippe à ses accoudoirs et de la sueur perle sur son front. L’hôtesse lui demande si tout va bien
« Oui, oui, ça va… », répond le VRP, « J’ai juste un peu mal au cœur. »

Pourtant, quinze minutes plus tard, l’hôtesse revient et constate que la situation a empiré. Une fois encore, elle demande au voyageur si tout est OK.
– Eh bien, lui répond le VRP d’un ton visiblement embêté, vous savez, le chiot que je vous ai montré à l’embarquement et au sujet duquel vous m’aviez dit qu’il devait voyager en soute… En fait, je ne m’en suis pas séparé, mais je l’ai emmené avec moi ici, en cabine, en le cachant dans mon caleçon.
– Ha ha, répond l’hôtesse d’un ton de reproche, vous allez devoir payer une amende pour cela. Mais dites-moi, pourquoi semblez-vous si crispé ?
– C’est que… Apparemment, ce chiot n’était pas encore sevré…