Blagues animaux
Le cheval, la poulette et la BMW
Un cheval et une poulette jouent dans une prairie.
Soudain le cheval tombe dans un trou de boue et coule. Il appelle à l’aide la poulette et lui demande d aller voir le fermier afin qu’il vienne l’aider à sortir de l’eau. La poulette court à la ferme mais le fermier est introuvable. Alors, elle décide de conduire la BMW du fermier vers le trou de boue et attache une corde au pare-chocs. Ensuite, elle jette l’autre bout de la corde à son ami le cheval et avance la voiture, ce qui sauve l’équidé de la noyade !
Quelques jours plus tard, la poulette et le cheval jouent encore dans la prairie, la poulette tombe dans le trou de boue et elle hurle au cheval d’aller chercher l’aide du fermier. Le cheval lui dit : je pense que je peux me positionner au dessus du trou ! Il s’étire donc sur toute la largeur du trou et dit : Maintenant, saisis mon pénis et accroche-toi. La poulette le fait et se tire en toute sécurité.
LA MORALE DE CETTE HISTOIRE :
Si t’es monté comme un cheval, t’as pas besoin d’une BMW pour tirer des poulettes.
Nuit d’amour
Folles sont mes pensées envers toi, et brûlant mon désir de te serrer dans ma main, avec une soif de plaisir incontrôlable pour ce que tu m’as fait.
La nuit était chaude et calme, et j’étais dans mon lit quand, subrepticement, tu t’es approché. Tu as frôlé mon corps nu avec ton corps, sans la moindre pudeur. Tu t’es pressé contre moi et tu m’as mordu sans scrupule jusqu’à mes plus intimes recoins. Je me suis endormi. Quand je me suis réveillé, je t’ai cherché avec une ardente avidité, mais en vain.
Tu avais laissé sur mon corps et dans les draps des preuves irréfutables de ce qui s’était passé entre nous cette nuit-là.
Cette nuit, je me coucherai plut tôt pour t’attendre dans ce même lit. Quand tu arriveras, je veux t’étreindre avec fougue et impatience. Je veux te serrer avec toute la force de mes mains. Il n’y aura pas un millimètre de ton corps que mes doigts ne toucheront pas. Je n’aurai de répit que lorsque je te verrai à nouveau.
Ce n’est que comme cela que je t’éclaterai la gueule !!
Saloperie d’enculé de moustique de merde !!!!!!!!!
Les termes animaux
« Myope comme une taupe », « Rusé comme un renard »..les termes empruntés au monde animal sont partout. La preuve :
Que vous soyez fier comme un coq, fort comme un boeuf, têtu comme une mule, malin comme un singe, chaud lapin ou fine mouche, vous êtes tous un jour ou l’autre devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche. Vous arrivez frais comme un gardon à votre premier rendez-vous et là, pas un chat ! Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous pose réellement un lapin. Le type qui vous a obtenu ce rancard, avec lequel vous êtes copain comme cochon, vous l’a certifié : » Cette poule a du chien, Une vraie panthère « . C’est sûr, vous serez un crapaud mort d’amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien. Vous êtes prêt à gueuler comme un putois, mais non, elle arrive. Bon, dix minutes de retard, il n’y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris est en fait plate comme une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine. Vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous noyez le poisson. Vous avez le bourdon, une envie de verser des larmes de crocodile. Vous finissez par vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. Vous avez beau être doux comme un agneau, faut pas vous prendre pour un pigeon !
Charles Bronson, Liz Taylor et les morpions
C’est un morpion qui va au syndicat des morpions se plaindre parce qu’il s’emmerde… Alors on lui dit :
– Écoute, on va te mettre dans la moustache à Charles Bronson, ok ?
– Ok.
Alors il y va, et il revient deux jours après :
– Non ça me plaît pas, il est trop propre, il s’essuie la moustache tout le temps, il met rien dedans, ça m’intéresse pas.
– Ok, alors on t’envoie dans la chatte à Liz Taylor, ok ?
– Ok.
Alors il y va mais il revient encore deux jours après.
– Alors, c’était pas bien ?
– Si, mais au bout de deux jours, je me suis retrouvé dans la moustache à Charles Bronson…