Blagues animaux
La blague du petit chien Karaté

Une dame veut acheter un chien de garde. Le vendeur lui propose un tout petit chien qui s’appelle « KARATE ».
La femme :
« Quoi un petit chien comme ça mais il est ridicule ! »
Le vendeur :
« Détrompez-vous madame, c’est le plus dangereux de tous. Regardez… »
Et la le vendeur ouvre la cage et crie :
« KARATE, bois. »
Et le petit chien se jette sur la table en bois et la dévore.
Le vendeur cri :
« KARATE, fer. »
Et le petit chien dévore une barre de fer.
La femme est enthousiasmée : Je vous l’achète tout de suite !
Toute contente elle rentre chez elle. Son mari est là. Elle lui montre le petit chien en lui disant que c’est un super chien et qu’il s’appelle KARATE.
Le mari :
« Quoi un petit chien comme ça défendre et protéger la maison mais il est ridicule et en plus comment s’appelle t-il ? Ah oui KARATE ! KARATE… KARATE mes couilles ! »
La blague du péteur fou

Ca se passe lors d’un dîner très classe.
Un invité se trouve être très encombré de gaz digestifs, et il ne souhaite qu’une chose, c’est de pouvoir s’en libérer au plus tôt.
A bout de résistance, le sphincter fatigué, il laisse partir un premier pet en essayant d’en limiter le bruit… Mais peine perdue : Le PROUT est audible par toute l’assemblée !
Cependant, avant que le gars ait le temps de rougir, la voisine d’en face dit en regardant sous la table (où dort son corniaud) :
« Kiki fais attention ! »
Soulagé, mais les intestins toujours remplis de gaz, le convive péteur reprend un peu plus sûr de lui par un joli « PRRROUTTT ».
Et ça ne rate pas, la voisine d’en face dit tout de suite à son chien aussitôt :
« Kiki, bon sang je t’ai dit de faire attention ! »
Encore plus sûr de lui, le gars laisse la machine s’emballer et l’on entend un « PPRRRROOAAAOUTTT » de la mort qui pue.
Et alors la proprio du chien lui dit :
« Kiki, tu ferais mieux d’aller ailleurs maintenant, sinon le monsieur va finir par te chier dessus ! »
Les conneries de jeunesse des deux ivrognes
Deux ivrognes sont dans un bar et il y en a un qui dit à l’autre :
– Tu te rappelles, quand on était gosses, on a fait de ces conneries ! On se demande parfois où on allait chercher tout ça !
Et l’autre lui répond :
– T’as raison ! Tiens moi, un jour, je me rappelle qu’on avait attrapé un chat. On lui a fait boire tout un jerrican d’essence. T’aurais vu le chat, mon pote ! Il est parti comme une fusée, cent mètres à fond la caisse, je ne te dis pas le chrono que ça faisait ! Et puis au bout de cent mètres, il est tombé d’un coup !
– Il était mort ?
– Non, il n’avait plus d’essence !