Blagues animaux
La blague du dromadaire

Une maman dromadaire et un bébé dromadaire discutent des choses de la vie :
– Maman, pourquoi est-ce que j’ai ces énormes pieds avec trois orteils ?
La maman dromadaire répond :
– Eh bien, c’est parce que lorsque l’on traverse les immensités désertiques, on ne risque pas de s’enfoncer.
– Ah… D’accord, répond le fils.
Quelques minutes plus tard, le fils demande à nouveau :
– Maman, pourquoi est-ce que j’ai ces si longs sourcils ?
– Ces sourcils sont la pour empêcher le sable de passer sous les paupières au cours des tempêtes de sable.
– Ah d’accord maman, répond le fils.
Un peu plus tard, le petit dromadaire revient à la charge :
– Dis maman, pourquoi est-ce que l’on a cette grosse bosse sur le dos ?
La maman dromadaire, lassée par toutes ces questions répond :
– La bosse nous sert à stocker l’eau pour nos longues courses dans le désert. C’est grâce à elle que l’on peut se priver de boire pendant plusieurs dizaines de jours !
– D’accord maman. Comme ca, on a des pieds très larges pour le pas s’enfoncer dans le sable, on a de longs sourcils pour ne pas avoir les yeux irrites par le sable, et on a cette bosse sur le dos pour pouvoir stocker de l’eau pour nos longues courses dans le désert… Mais alors maman dis-moi une chose…
– Oui mon fils ?
– Qu’est-ce qu’on fout ici dans le Zoo ?
La blague du cheval qui parle

Un concurrent du Paris Dakar tombe en panne avec sa voiture dans le désert. Il a beau chercher la panne, il ne trouve pas. Il est seul …
Tout à coup, un cheval se trouve à côte de lui.
« Salut, t’es en panne ? » lui demande le cheval. L’homme croit rêver. C’est le début de la folie se dit-il.
« Pas de problème » lui dit le cheval en plongeant la tête sous le capot pour examiner le moteur « mets-toi au volant et tourne la clé »
Le mec s’exécute. Tourne la clé, le moteur démarre du premier coup. Sans demander son reste il fonce jusqu’au premier village. Arrivé là il s’arrête devant le premier bistrot et réclame une bière. Au barman qui le sert, il raconte son histoire. Sans broncher le barman retourne à ses occupations. Alors notre homme se tourne vers un autre consommateur à qui il raconte à nouveau son aventure.
– De quelle couleur était le cheval ? lui demande le type.
– Blanc, tout blanc.
Le type fini son verre, lui tape sur l’épaule,
– On peut dire que vous avez eu de la chance, si vous aviez rencontré le cheval noir vous seriez toujours là bas ne train de mourir de soif… »
– Pourquoi ? demande l’homme affolé.
– Le cheval noir ? il est nul en mécanique !