Du temps où l’on expédiait encore des télégrammes…
Un Berger allemand (le chien) entre dans le bureau de poste, prend un formulaire pour les télégrammes et le remplit : « Woof.. woof.. woof.. woof.. woof.. woof.. woof.. woof…woof. »
L’employé des postes prend le télégramme en main et dit au chien : « Il y a seulement neuf mots… Vous pouvez envoyer un autre « Woof » pour le même prix »
« Mais à ce moment, » répond le chien, « ça ne voudrait plus rien dire. »
C’est un gars, il n’a pas de chance : Son chien vient de se faire percuter par une voiture. Alors il fonce chez le vétérinaire pour le faire soigner.
Le vétérinaire, en voyant le chien lui dit tout de suite : – Ça ne s’annonce pas bien. Je pense même que votre chien est mort, mais pour en être tout à fait sûr, je vais lui faire quelques tests.
Le gars est d’accord et il répond : – Allez-y docteur, je veux savoir si on ne peut vraiment plus rien faire pour mon Brutus.
Alors le véto prend son stéthoscope et ausculte : – Rien, le coeur ne bat plus.
Puis il prend un miroir et le met devant la truffe du chien : – Pas de buée, il ne respire plus.
A ce moment, le véto ajoute : – Il y a un dernier test qui est infaillible. Si il reste une parcelle de vie dans votre chien, ce test la révélera.
Alors le véto va chercher son propre chat. Il prend ses pattes avant dans la main gauche et ses pattes arrières dans la main droite, puis il le fait passer lentement au dessus du chien, en commençant par la truffe et en allant jusqu’à la queue, puis dans l’autre sens jusqu’à revenir à la truffe… Le chien reste malgré tout complètement inerte.
– Je suis vraiment désolé, dit alors le véto, mais votre chien est réellement mort. Maintenant, vous devriez rentrer chez vous. Je garderai son corps pour le faire incinérer. (le gars n’avait rien pour payer les frais).
Le gars rentre chez lui. Une semaine plus tard, il reçoit un courrier du véto : C’est la facture du jour de l’accident de Brutus, et elle se monte à 500 euros !
Le gars attrape son téléphone et demande à parler au véto. Lorsqu’il l’a au bout du fil, il lui demande: – Pourriez-vous me détailler cette facture de 500 euros ?
Le véto : – Bien sûr : Il y a 50 euros de consultation, 25 euros pour les examens au stéthoscope et au miroir et 125 euros pour l’incinération.
Le gars répond : – D’accord, tout ça ne fait que 200 euros ; à quoi correspondent les 300 euros restants ?
Un fermier vient d’acheter un taureau monstrueux pour faire les saillies sur ses vaches.
Dans le troupeau, il y a déjà 3 taureaux : Un gros, un moyen, et un petit.
Le gros taureau a effectué les saillies sur la moitié du troupeau durant l’année ; le moyen a sailli un tiers du troupeau, et le petit taureau a sailli le reste.
Lorsque les 3 taureaux rencontrent le nouvel arrivant qui se trouve être plus gros que chacun des trois, le gros taureau dit : – Tu peux choisir parmi toutes mes vaches, prends celles que tu veux : Je suis trop vieux pour te faire de la concurrence.
Le moyen taureau dit la même chose que le gros taureau
Mais le petit taureau commence à baisser la tête, à souffler dans ses naseaux et à gratter le sol de ses pattes avant.
Les deux autres taureaux le regardent et lui disent : – T’es pas fou ? Il va te tuer !
Alors le petit taureau répond: – Ouais, moi je m’en fous des vaches. Je veux juste être sûr qu’il sache que je suis un taureau.
A l’aéroport, l’ adjudant-chef douanier déclare : – Vous allez me passer les sept autruches qui viennent d’ Australie sous le portique qui set à détecter les objets métalliques ! – Vous craignez une ruse des trafiquants ? s’ enquiert un douanier. – Non, répond le chef, j’ aimerais simplement savoir laquelle a avalé ma montre.
C’est un mime de la rue qui est décidé à se faire un peu d’argent.
Cette fois-ci, il passe l’après-midi au zoo et commence à faire son intéressant, devant les ours. Très vite, un attroupement se fait autour de lui, et tout de suite après, le gardien de zoo surgit, l’attrape par le col et l’emmène dans son bureau.
Le gardien lui explique qu’il n’a pas le droit de faire le zouave dans l’enceinte du zoo. Le mime lui répond que les temps sont durs, et qu’il faut le laisser gagner un peu d’argent.
Le gardien, qui n’est pas un monstre, lui explique alors que si il cherche à se faire un peu d’argent, il peut lui proposer de remplacer le gorille, mort récemment, et qui était l’animal le plus apprécié du zoo. Le gardien lui dit qu’il n’aura qu’à endosser l’habit de gorille et faire le gorille du mieux qu’il peut jusqu’à ce qu’un nouveau vrai gorille ne le remplace.
Naturellement, le mime accepte.
Le lendemain matin, le mime endosse son costume et entre dans la cage avant que les visiteurs n’arrivent. Finalement, il trouve son nouveau travail très intéressant : Il peut dormir quand il veut, et même continuer à divertir le public. En fait, il réussit même à passionner les foules plus encore que lorsqu’il faisait le mime.
A tel point qu’il se décide un jour à faire de l’improvisation de gorille: Il s’évade de sa cage, il grimpe en haut de la fosse au lion, et là il le nargue en courant en tous sens, et en lui faisant des grimaces. Evidemment, le lion est furieux et tourne comme un fou dans sa fosse.
La foule est aux anges et applaudit à tout rompre !
Le soir, le gardien de zoo va voir le mime et lui promet une augmentation si il est capable de contenter le public de la même manière tous les jours.
Le lendemain, le mime recommence son numéro au dessus de la fosse du lion, mais… il perd l’équilibre et tombe !
Complètement terrifié, le mime-gorille se met à courir pour échapper au lion et se met à crier : « A L’AIDE AIDEZ-MOI ! » au moment où il se retrouve face au lion dans un coin de la fosse.
Alors le lion le fixe droit dans les yeux et lui dit : « Tais-toi donc idiot ! Tu veux qu’on se fasse virer tous les deux ? »